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Vents
D'Ouest présente : --------------------------------------------------------- |
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Aven |
Source,
Je Boirai Ton Eau T3 | --------------------------------------------------------- |
Par Stefan
et Astier I 48 pages I
9,40 Euros I Extraits |
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| Résumé
: Quel est donc ce terrible
secret enfoui dans les profondeurs de l'Aven ?!? Deux vieillards retrouvés
écrasés au bas du pont qui surplombe le village... un troisième
pendu dans sa ferme en flammes... Et le maire qui semble avoir sombré dans
la folie meurtrière... En ce mois d'août 1969, dans ce décor
de carte postale, rien ne tourne plus rond. Depuis l'enfance, l'amitié
unissait ces quatre hommes. Que s'est-il passé en cette chaude nuit d'été
1938 pour que tout vole en éclats ? Quel souvenir les a hantés toutes
ces années et leur a fait perdre la raison ? Qui les a poussés au
suicide ? Un secret ? Un fantôme ? Une malédiction ? L'inspecteur
Walec, blessé, hagard, s'enfonce dans cette enquête en sables mouvants,
bien décidé à ne pas laisser s'échapper la vérité. |
| Chronique
:
Avec ce nouveau et dernier tome de "Aven", finit les aventures de l'inspecteur
Walec et du mystère qui enveloppée cette série particulière.
Il faut dire que le scènario bâtit en plusieurs couches, permettait
d'avoir deux récits: un à notre époque et un autre dans le
passé, distinguable par une recherche graphique et une colorisation différente
!!!. Mais ce qui surprendre est le virage encaissé par l'histoire et les
iffrents dénouements.
Côté dessin, Laurent Astier nous livre là un travail remarquable,
basé sur la précision même si son style graphique n'est pas
réaliste. Mais on appréciera toujours ces planches fignolées,
avec un sens ardus du découpage et le soin apporté aux cadrages
comme aux petits détails. C'est cela qui fait la force aussi d'un bon album...
Bien qu'épais est très bien construit, l'intrigue est vite partit
en éclats aux dernières pages, révélant une fin approximative
et pas à la hauteur des deux autres tomes. C'est à dire que pour
un thriller de cette trempe et vu le travail fournit par le scènariste,
on s'attendait à quelque chose de grandiose, un peu comme les trillers
Hollywoodiens, capable de nous serrrer les tripes avec pas grand chose. Ici, on
se sent mal à l'aise, mais pas totaleent conquis...
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| Note
dessins | | |       | |
| Note
scénario | | |       | |
| | chronique
écrite par Philippe Duarte | |
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