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Résumé :

Il est bien loin, le temps des copains, des filles et du rock’n’roll… Sam, flic fêtard et volage, a été brutalement rappelé à la réalité du monde des adultes lorsque sa femme Eléonore est décédée des suites d’une opération de chirurgie esthétique. Ni l’alcool, ni la coke, ni les médicaments, ni les explosions de violence ne l’aideront à chasser les fantômes du passé… Heureusement qu’il lui reste Manu, Boulette, Greg et les chansons des Rolling Stones !.

Chronique :

Après les Beatles, voilà que Christopher remet le couvert avec sa série fétiche, en abordant une thématique qui touche de près le répertoire des Rolling Stones !. On entre de plein fouet dans l'univers de cette bande de quatre potes qui vivenet leur vie avec tous ce qu'ele nous apporte: joie et malheur !!!... Dans cela on met leur séance de répétition qui devient un exutoire à la vie, mais lié de prés au chansons des Rolling Stones... C'est l'expérience douloureuse que va connaître Sam qui vient de perdre sa femme dans un opération médicale !!!... C'est à ce moment bien précis que le lecteur va se rendre compte de la vie, de sa fragilité et comment il peut la supporter... Les dialogues bien écrits et les scènes réalistes, deviennt comme un mirroir de ce qu'on ne voudrait jamais connaître...

Toujours dans la même veine que le précèdant opus, "Love Song" continue de nous offrir ces planches brutes de décoffrages et certainement moins abouties que celle des "Colocataires". Mais nous n'allons pas rechigner devant le travail exécuté par Christopher qui s'emploie toujours à restituer des univers aussi fidèle que la réalité. On aime son jeu d'ombre et lumière, suggèrer par l'épaisseur du trait ou le hâchurage...

Au final, ce tome reste d'aussi bonne qualité que le premier qui était dédié aux Beatles. Toutefois, on retrouve par moment quelques passages difficiles et lié directement avec des sujets soit tabous ou génant. On peut alors se demander si la musique des Rolling tones est plus sombre que celle des Beatles ??? En espérant alors que Christopher n'aborde pas une thématique propre à la musique des The Cure !!!...