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Fantagraphics
présente : --------------------------------------------------------- |
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Bosnian Flat Dog |
Bosnian
Flat Dog | --------------------------------------------------------- |
Par Andersson
et Sjunnesson I 112 pages I
13 Dollars I Extraits | --------------------------------------------------------- |
| Résumé
: The 1999 Nato bombing
of Serbia. A grenade shell from a Sarajevo souvenir shop. A refrigerator with
the frozen mummy of Tito… These serve as the starting point for a journey
further and further down the collective unconscious of the Balkans, where the
borders between dream and reality are erased and redrawn until they form a tale
as exciting as it is fantastic, a tale which could be about our times and a war-torn
Europe but just as well might be a deep dive into the psyches of its authors or
a discussion about the essence of drawing. Bosnian Flat Dog is the result of a
unique collaboration between two of Sweden's most internationally renowned cartoonists,
Death and Cand and Pixy creator Max Andersson and Lars Sjunnesson. Each of them
contributed to every single drawing to the extent that they no longer can tell
themselves exactly who did what. This has lead to the emergence of an independent
artistic entity which is neither of the two, but something else, at once familiar
and unknown and perhaps a little bit scary. | |
Chronique
:
Ce qui m'a d'abord surpris dans le choix de l'éditeur et le format adopter
pour cette Bd originalement publié en A4 classique. Car publié en
feuilletons dans la revue sélect' "Stripburger", j'avais pût
découvrir cette BD au ton cynique, qui ne s'embarrasse d'aucun choix politiques
et préfère mettre en avant une vision utopique d'un pays à
la dérive. Même si l'on reste loin du véritable cauchemard
engendré par les hommes de ce pays, l'histoire cannonise la bêtise
de l'homme, avec des clins d'oeils astucieux et des dialogues percutants.
Si le format change pour une version dîtes à l'italienne, l'ensemble
n'a pas perdu de son panache et reste toujours emprunt par cette force qui se
dégage dans le dessin de Max Andersson. fait de noir et blanc ultra saturé,
l'ensemble pourrait se perdre dans un hâchurage mal exploité, mais
c'est mal connaître cet auteur qui nous prouve qu'avec ces deux couleurs
on peut faire ressortir beaucoup d'ambiances.
Avec cette réedition spectaculaire, l'éditeur Fantagraphics nous
prouve combien il est possible de se surpasser pour concevoir des livres personnalisés
et capable de nous surprendre en connaissant déjà la BD, puisqu'il
s'agit d'une réédition en album complet !!! A découvrir.
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| Note
dessins | | |       | |
| Note
scénario | | |       | |
| | chronique
écrite par Philippe Duarte | |
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