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Résumé :

Ce deuxième volume de la trilogie conçue par Yves H. est une évocation de la vie – rarement racontée – de celui qui inventa le mythe vampirique de Dracula : l’irlandais Bram Stoker (1847-1912). Passionné de théâtre et de littérature, resté longtemps un écrivain contrarié, Stoker noue une étrange relation d’admiration-soumission avec l’acteur Henry Irving, star du théâtre londonien de l’époque, qui exploitera sans retenue, des années durant, sa docilité et sa timidité. Brimé, humilié, Stoker va sublimer ses frustrations dans une création littéraire surprenante : celle du Comte Dracula, le “non-mort”, qui emprunte à de multiples sources parmi lesquelles Carmilla de Joseph Sheridan Le Fanu, les expériences sur l’hypnose de Charcot ou les exploits sanglants de Jack l’Eventreur. Brièvement remarqués avant de tomber dans l’oubli, le roman et le personnage de Stoker seront exhumés un peu plus tard par le cinéma pour devenir l’une des plus célèbres créations de notre époque.

Chronique :

Je ne sais pas ce qui c'est exactement passé !!! Autant j'avais beaucoup apprécié le premier volume, autant ce deuxième tome est gâché par le graphisme !!! Du coup j'ai eu beaucoup de mal à entrer dans l'histoire, mais qui s'appaise très vite par la qualité de la narration qui reste fluide et surtout très intéressante !!!

Je suis sûr que beaucoup de gens vont apprécier ce graphisme si particulier, mélangeant habilement plusieurs techniques graphiques. Pour ma part, j'attendais un dessin comme présenté dans le premier tome, ce qui aurait donné une suite logique à la série. Mais là, ça contraste vraiment et j'ai beaucoup de mal à rentrer dans l'histoire, devenue pour l'ocassion froide et mécanique. A ce train là, je me demande à quoi va ressembler les prochains volumes.

Si le scènario reste toujours aussi efficace et particulièrement intéressant, on ne pourra pas en dire de même du dessin, qui hormis les fanatiques de graphismes barrés, ne trouverons rien d'intéressant. A découvrir uniquement pour l'histoire.